À la fin de l’été, Ingénieurs Canada a soumis au gouvernement fédéral des recommandations en réponse à deux consultations distinctes – soit l’Étude sur le renforcement des capacités communautaires et la conservation des talents du Comité permanent des affaires autochtones et du Nord de la Chambre des communes, et la consultation menée par Affaires mondiales Canada au sujet des négociations sur d’éventuelles adhésions à l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP).

À la fin de l’été, Ingénieurs Canada a soumis au gouvernement fédéral des recommandations en réponse à deux consultations distinctes – soit l’Étude sur le renforcement des capacités communautaires et la conservation des talents du Comité permanent des affaires autochtones et du Nord de la Chambre des communes, et la consultation menée par Affaires mondiales Canada au sujet des négociations sur d’éventuelles adhésions à l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP).

Le mémoire à l’intention du Comité permanent des affaires autochtones et du Nord résume le travail effectué par Ingénieurs Canada pour intégrer le savoir autochtone à la profession d’ingénieur, notamment le travail mené en collaboration avec des communautés et des leaders autochtones en vue renforcer la prise en compte du savoir autochtone dans les projets d’ingénierie et les évaluations de la résilience climatique.

Le mémoire fait également état du travail effectué par la profession d’ingénieur pour attirer et maintenir des Autochtones au sein de la profession, notamment par les programmes d’accès offerts dans certains établissements d’enseignement postsecondaire. Ingénieurs Canada demande au gouvernement fédéral d’appuyer ces programmes d’accès au génie en collaborant avec la profession d’ingénieur, les communautés autochtones et les établissements d’enseignement.

Le 22 août, Ingénieurs Canada a aussi soumis à Affaires mondiales Canada ses commentaires sur le PTPGP, qui reconnaissent l’importance de la mobilité internationale des ingénieurs, mais réitèrent que l’obtention du permis d’exercice et la réglementation du génie demeurent de la plus haute importance.

« Mais s’il y a lieu de faciliter la mobilité internationale des ingénieurs pour que le Canada tire profit des avantages de la mondialisation des services d’ingénierie, il est également essentiel que l’octroi du permis d’exercice et la réglementation des ingénieurs soient efficaces afin de maintenir les normes de déontologie, les qualifications et les normes de pratique rigoureuses qui définissent la profession d’ingénieur au Canada », indique Ingénieurs Canada dans sa lettre.

« Le public doit continuer d’avoir l’assurance que les ingénieurs, sans égard au pays où ils ont obtenu leur diplôme ou acquis leur expérience de travail, ont la formation et les qualifications nécessaires pour pratiquer le génie au Canada avec compétence et intégrité. »