Lors d’un atelier organisé conjointement par Ingénieurs Canada, Environnement Canada et le Conseil canadien des normes, des acteurs clés des secteurs des sciences et du génie se sont réunis pour définir les principaux défis liés à la conception d’infrastructures et aux changements prévus en matière de précipitations extrêmes.
Des représentants des secteurs de l’ingénierie et des sciences se sont réunis lors d’un atelier tenu dans les bureaux torontois d’Environnement Canada afin de définir les principaux défis auxquels ils font face pour comprendre et communiquer l’information sur la façon d’adapter la conception des infrastructures aux précipitations extrêmes associées aux changements climatiques.
L’atelier du 10 novembre, qui était une première réunion regroupant 25 acteurs clés du milieu scientifique et de la communauté des ingénieurs, devait permettre aux participants de faire connaître leurs besoins d’information sur les précipitations extrêmes et sur l’état actuel des données et projections scientifiques sur les précipitations extrêmes.
L’atelier comprenait une mise à jour sur la disponibilité des courbes d’intensité, de durée et de fréquence (IDF) actuelles et prévues nécessaires pour la conception et la gestion des systèmes d’eaux pluviales. Environnement Canada publiera au cours du premier trimestre de 2016 un rapport sommaire comprenant toutes les présentations.
L’atelier était organisé conjointement par Ingénieurs Canada, Environnement Canada et le Conseil canadien des normes. David Lapp, FEC, P.Eng., chef de pratique, Génie et Politiques publiques, représentait la profession au sein du comité organisateur et a réussi à obtenir la participation d’ingénieurs de plusieurs firmes de génie-conseil et de deux organismes de conservation ontariens qui sont de grands utilisateurs de cette information.