Ingénieurs et villes réagissent à la rupture d’une conduite d’eau à Montréal. Hatch et le NSMTC explorent la possibilité de créer une coentreprise pour offrir des services professionnels et d’ingénierie dirigés par des Autochtones. Des ingénieurs se demandent si le réseau canadien est prêt pour l’électrification. C’étaient là les sujets des articles les plus lus de la revue de presse de la fin août.
Des ingénieurs et des villes réagissent à la rupture d’une conduite d’eau à Montréal. La rupture d’une importante conduite d’eau à Montréal, qui fait suite à celle de Calgary, suscite des inquiétudes quant aux infrastructures des villes canadiennes. À Montréal, les inspecteurs analysent l’étendue et la localisation des dommages causés à la conduite ; à Calgary, les réparations ont commencé, mais cinq autres points faibles ont été découverts. Pour réduire les inondations et soulager les infrastructures vieillissantes, des solutions innovantes, telles que le revêtement perméable, sont envisagées comme mesures d’atténuation potentielles.
Projet de coentreprise entre Hatch et le NSMTC. Hatch et le North Shore Mi'kmaq Tribal Council (NSMTC) ont annoncé qu’ils exploraient la possibilité de créer une coentreprise pour implanter une approche dirigée par des Autochtones dans les secteurs des énergies propres et des infrastructures au Canada. Le NSMTC souhaite renforcer les capacités et les compétences dans le secteur de l’énergie.
Le réseau canadien est-il prêt pour l’électrification ? L’ingénieur Brad White croit qu’il n’est peut-être pas possible d’électrifier immédiatement tous les bâtiments du pays avec les infrastructures existantes, mais que nous pouvons certainement commencer. De nombreux bâtiments peuvent être électrifiés sans problème, et le fait de commencer dès maintenant permettra d’accélérer le passage à l’électricité et de prendre de l’avance sur le défi générationnel que représente la reconstruction de nos infrastructures.