Des appels au remaniement de la cérémonie d'engagement de l’ingénieur. Un ingénieur de la Saskatchewan reconnu coupable de faute professionnelle. Une professeure de l’Université Concordia explore l'écart entre les sexes en génie. C’étaient là les sujets des articles les plus lus de la Revue de presse de la fin février. 

Cérémonie d’engagement de l’ingénieur : Si l'anneau de fer lui-même suscite beaucoup de respect, le rite qui l'entoure est de plus en plus critiqué, et nombreux sont ceux qui demandent qu'il soit remanié. Le Toronto Star s'est penché sur la controverse qui entoure la cérémonie d’engagement de l’ingénieur.  

Effondrement d'un pont en Saskatchewan : L'ingénieur de Regina Scott Gullacher s'est vu interdire d'exercer pour le moment, après qu'un pont qu'il a conçu dans une région rurale de la province se soit effondré quelques heures après son ouverture en 2018. L'ordonnance provisoire intervient après qu'un comité de discipline de l'APEGS a déclaré Gullacher coupable de trois chefs d'accusation de faute professionnelle dans une décision écrite rendue le mois dernier. 

Écart entre les genres : Ann-Louise Howard, ingénieure et professeure à l’Université Concordia, diffuse ses recherches dans le cadre d’un webinaire en deux volets intitulé « Seeing » the hidden, gendered dynamics of engineering, présenté par le Centre d’études en relations humaines et communautaires de Concordia. Le sujet de sa thèse a mis en lumière la dynamique parfois dangereuse, secrète et genrée du génie qui aide à maintenir le statu quo.