La réglementation du génie logiciel. Un avis disciplinaire en Colombie-Britannique. Des ateliers conçus pour guider les femmes dans l’environnement entrepreneurial offert à la Schulich School of Engineering. C’étaient là les sujets des articles les plus consultés de la mi-octobre.
Génie logiciel : Dans un communiqué de presse, l'APEGA soutient qu'il existe d’excellentes raisons qui justifient la réglementation de l’exercice du génie logiciel. Ce communiqué de presse fait suite à la publication par le Conseil canadien des innovateurs d'une lettre ouverte adressée à Danielle Smith, première ministre de l'Alberta, lui demandant de « supprimer la paperasserie réglementaire » concernant l'utilisation du titre d'ingénieur en logiciel (l’affaire a été couverte par le Globe and Mail, la Canadian Press et le Calgary Herald).
Avis disciplinaire : À la suite d’une ordonnance sur consentement, Michael Christie, P.Eng., a admis avoir fait preuve d'une conduite non professionnelle en apposant sa signature et son sceau d’ingénieur sur des dessins pour un système de garde-corps qui ne comprenaient pas suffisamment d'information et indiquaient que le système de garde-corps était conforme au Code du bâtiment de la Colombie-Britannique alors que les composantes du système n'avaient pas été testées adéquatement.
Atelier : Orly Yadid-Pecht, professeure au département de génie électrique et logiciel de l'Université de Calgary, a constaté des écarts entre les genres dans le domaine de l'entrepreneuriat et des STIM et réalisé qu’on pouvait enseigner à les surmonter. Elle a donc commencé par encadrer des collègues et a rapidement élargi son champ d’action en créant From Lab 2 Fulfillment (FL2F), un atelier qui enseigne aux femmes dans les STIM comment transformer leurs recherches et leurs découvertes en produits et en entreprises.