Le Queen Elizabeth Prize for Engineering a publié son tout premier rapport Create the Future,

Le 26 octobre 2015, le Queen Elizabeth Prize for Engineering a publié son tout premier rapport Create the Future, qui présente les résultats d’un sondage mondial sur les attitudes du public à l’égard de la profession d’ingénieur. Même si le Canada ne faisait pas partie des 10 pays sondés, le rapport contient certains constats importants qui sont pertinents pour le génie au Canada et pourraient indiquer des pistes de solution pour assurer la pérennité de la profession.

  • Partout dans le monde, les gens respectent unanimement le secteur du génie pour l’influence positive qu’il a exercée sur la société dans le passé, et neuf personnes sur dix croient que le génie peut résoudre les défis de l’avenir – en particulier les défis liés à l’environnement et aux infrastructures. Au cours des vingt prochaines années, les répondants veulent voir le génie mener les efforts pour bâtir un monde meilleur et plus durable dans les domaines des énergies renouvelables et des soins de santé.
  • Une carrière en génie se classe au premier rang des treize carrières évaluées comme étant essentielles pour la croissance économique.
  • Malgré cela, sept personnes sur dix affirment que la contribution sociale du génie est sous-estimée.
  • L’intérêt pour le génie est le plus marqué dans les pays qui ont récemment connu une croissance économique rapide (c.-à-d. l’Inde et la Chine) et, dans ces pays, cet intérêt se répartit également entre les hommes et les femmes. Par ailleurs, dans les économies établies de plus longue date (comme les États-Unis et l’Allemagne), une carrière en génie attire moins de personnes, mais en majorité des hommes.
  • Partout dans le monde, les gens reconnaissent le rôle positif que joue le génie dans la création de nouvelles possibilités d’emploi dans leurs collectivités, mais dans sept des dix pays sondés, les répondants estiment qu’il manque de ressources pour aider les jeunes à se lancer dans la profession.

Pour lire l’intégralité du rapport, voir le site Web du Queen Elizabeth Prize.