Ingénieurs Canada était fier de s'associer une fois de plus à TD Assurance Meloche Monnex pour commanditer le Congrès 2018 de la Fédération canadienne étudiante de génie (FCEG). Le congrès, qui en était à sa 50e édition cette année, s’est tenu sur le thème fort à propos de L’ingénieur du monde.
Ingénieurs Canada était fier de s'associer une fois de plus à TD Assurance Meloche Monnex pour commanditer le Congrès 2018 de la Fédération canadienne étudiante de génie (FCEG). Le congrès, qui en était à sa 50e édition cette année, s’est tenu sur le thème fort à propos de L’ingénieur du monde.
Lors du banquet des partenaires du congrès, Jeanette M. Southwood, FCAE, FEC, LL.D. (h.c.), P.Eng., IntPE,vice-présidente de la division Stratégie et Partenariats et Joey Taylor, PMP, chef de pratique, Affaires publiques, ont parlé de l'importance de reconnaître les liens entre les ingénieurs, les scientifiques, les décideurs et les groupes qui travaillent à l'amélioration des conditions de vie de tous. Au nombre des importants domaines de travail dans lesquels ce type de collaboration s'intensifiera, mentionnons les objectifs de développement durable de l'ONU, qui ont été définis en 2015 et qui comprennent de multiples domaines où le génie devra jouer un rôle direct ou pourrait être utilement mis à contribution dans les discussions et la planification.
Mme Southwood a fait remarquer que la FCEG reconnaissait déjà la nécessité de tirer parti des talents, des ressources et des acquis uniques des personnes aux parcours personnels et professionnels différents pour atteindre un objectif encore plus ambitieux et a dit qu'il était temps d'élargir cette perspective. « Réfléchir maintenant à la façon dont votre expertise peut se combiner harmonieusement à celle des autres est ce qui vous permettra, après avoir fait les bonnes études, de servir au mieux l’intérêt public. »
M. Taylor, quant à lui, a parlé du rôle essentiel de la diversité dans la réalisation de solutions d’ingénierie qui soient robustes et inclusives. « Permettre que des personnes diverses ayant des points de vue et des savoirs différents puissent s’exprimer enrichit les solutions d'ingénierie et sert bien davantage l'intérêt public », a-t-il déclaré, tout en soulignant la façon dont les mentalités évoluent. « Nos attitudes envers nos quartiers, nos écoles, nos villes et notre pays commencent à intégrer la mondialité. »
Forte de ses 50 ans, cette importante rencontre de leaders étudiants de partout au pays s’est une fois de plus imposée comme une tribune privilégiée pour explorer les défis et les possibilités de l'avenir du génie.