Le 14 février, l’Ordre des ingénieurs du Québec a célébré son centième anniversaire. Fondé en 1920 pour assurer la compétence et le comportement éthique des quelque 500 ingénieurs de la province, l’OIQ compte maintenant 65 000 ingénieurs membres, qui forment la plus grande profession du domaine des sciences appliquées au Québec.
Le 14 février, l’Ordre des ingénieurs du Québec a célébré son centième anniversaire. Fondé en 1920 pour assurer la compétence et le comportement éthique des quelque 500 ingénieurs de la province, l’OIQ compte maintenant 65 000 ingénieurs membres, qui forment la plus grande profession du domaine des sciences appliquées au Québec.
« Le génie québécois a connu une impressionnante croissance depuis cent ans, indique Kathy Baig, présidente de l’Ordre. Dans toutes les régions du Québec et dans tous les secteurs économiques, des ingénieurs apportent quotidiennement des solutions scientifiques et technologiques aux besoins de notre société. »
Depuis la fondation de l’OIQ, la profession a énormément évolué. Aujourd’hui, les ingénieurs québécois sont actifs dans une vingtaine de grands domaines de pratique. Aux domaines traditionnels – tels que le génie civil, le génie du bâtiment ou le génie industriel – se sont ajoutées plusieurs nouvelles disciplines tout au long de l’histoire de l’organisme. Des innovations en génie biomédical, en génie informatique et en génie de l’environnement ont considérablement élargi les contributions des ingénieurs à la société.
Dans un communiqué de presse au sujet de son centenaire, l’OIQ souligne le fait que la profession d’ingénieur québécoise est de plus en plus diversifiée, comptant 15 % de femmes et 12 % de professionnels qui ont été formés à l’étranger.
« L’Ordre des ingénieurs du Québec a lui aussi évolué, afin que les membres de la profession soient bien outillés pour relever des défis techniques et éthiques de plus en plus complexes, que ceux-ci soient liés à la qualité de l’environnement, à l’acceptabilité sociale des projets ou au développement de l’intelligence artificielle », précise Kathy Baig.
Au cours des semaines et des mois à venir, l’OIQ compte s’employer à mettre en lumière les réalisations et l’excellence de la profession, notamment au moyen de plusieurs allocutions, d’une édition spéciale de la revue PLAN, et d’une campagne publicitaire visant à valoriser la profession sous le thème « Être ingénieur, c’est contribuer à faire le monde ! ».
Le 27 mai, l’OIQ organise la Soirée de l’excellence en génie – Gala 100e anniversaire. Plus de 350 participants sont attendus au Centre des sciences de Montréal pour cet événement, qui rendra hommage à des ingénieurs exceptionnels.
Pour en savoir plus sur l’OIQ et les célébrations de son centenaire, visitez le site Web de l’organisme. Vous pouvez aussi explorer la page 100 ans de génie au Canada pour plus de détails sur les organismes de réglementation qui célèbrent leur centenaire cette année.