Le vendredi 9 mars, Stephanie Price, P.Eng., CAE, chef de l’exploitation d’Ingénieurs Canada, a donné une présentation sur l’initiative 30 en 30, dont l’objectif est de hausser la proportion de nouvelles ingénieures jusqu’à 30 pour cent d’ici 2030.
Le vendredi 9 mars, Stephanie Price, P.Eng., CAE, chef de l’exploitation d’Ingénieurs Canada, a donné une présentation sur l’initiative 30 en 30, dont l’objectif est de hausser la proportion de nouvelles ingénieures jusqu’à 30 pour cent d’ici 2030. Cette présentation s’inscrivait dans le cadre des séances du programme Advancing New Canadian Women in Technology (ANCWT), à l’Université d’Ottawa. L’ANCWT est un programme de préparation à l’emploi à l’intention de groupes de femmes, notamment les nouvelles immigrantes et les réfugiées syriennes, qui ont acquis une formation en génie, en technologie, en informatique ou en technologies de l’information à l’étranger.
Le programme ANCWT, qui a pour objectif d’aider ces femmes à intégrer le marché du travail canadien le plus rapidement et le plus efficacement possible, reçoit l’appui de divers organismes, comme PEO, la Chaire pour les femmes en sciences et en génie du CRSNG et la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa. La séance, qui était donnée dans le cadre de formations offertes du 21 février au 18 mars, comprenait une discussion sur l’initiative 30 en 30, ainsi qu’une présentation sur l’attribution du permis d’exercice et le statut d’ingénieur stagiaire donnée par Moody Farag, P.Eng, gestionnaire, attribution de permis. Actuellement en phase pilote, le programme ANCWT compte accroître son recrutement et son financement dans les mois à venir.
Mentionnons que quelques jours auparavant, David Lapp, FEC, IRP, P.Eng., chef de pratique, Mondialisation et Développement durable, avait fait une présentation sur cette même initiative au Symposium de développement professionnel 2018 de la NAPEG.