Jonathan Rose a exercé une influence considérable sur le domaine du génie électrique et informatique, au Canada comme à l’échelle mondiale. Au début des années 1990, lui et son équipe de recherche, à l’Université de Toronto, étaient à l’avant-garde de la recherche sur les matrices prédiffusées programmables par l’utilisateur (FPGA), créant des outils de conception assistée par ordinateur (CAO) pour l’exploration de l’architecture et des connaissances sur l’architecture de ce type de puce informatique, aujourd’hui largement utilisée dans l’univers numérique. 

Jonathan et son équipe ont créé une start-up ayant pour but de commercialiser leurs recherches sur les FPGA. La société a rapidement été rachetée puis intégrée au géant des puces électroniques Intel. La création ultérieure d’un laboratoire de recherche et de développement informatique à Toronto a été à l’origine de la vague de start-ups qui a contribué à faire de la ville un centre technologique d’excellence, avec les nombreux avantages économiques qui en découlent. 

Au cours de son stage postdoctoral à l’Université Stanford en Californie, M. Rose a pu observer de près le rythme rapide de l’innovation dans la Silicon Valley et, après son expérience de création d’entreprises, il est devenu un champion de l’esprit d’entreprise. C’est ainsi qu’il a contribué à la création de l’Engineering Entrepreneurship Hatchery de l’Université de Toronto et d’une série de séminaires qui ont permis à d’éminents entrepreneurs de venir s’entretenir avec les étudiant.e.s. De plus, il a été le premier directeur du populaire programme de mineure en ingénierie commerciale de l’Université, qui apporte aux étudiant.e.s en génie les outils nécessaires pour travailler dans le monde des affaires. 

« À mes yeux, il est évident que l’avenir économique d’un pays repose sur les épaules des entrepreneurs », avance M. Rose. 

Cherchant de nouvelles façons de donner de son temps et de son expertise, il s’est rendu en Éthiopie sous l’égide de la Toronto Addis Ababa Academic Collaboration, pour former des instructeurs à l’Institut de technologie d’Addis Abeba et encadrer deux candidats au doctorat. Il a aussi été pendant 11 ans directeur de l’ONG canadienne Universitaires sans frontières, qui aide les établissements d’enseignement supérieur des pays en développement à renforcer leurs capacités. 

La curiosité, l’intrépidité et l’optimisme de M. Rose le poussent continuellement à rechercher de nouveaux domaines de recherche. Il travaille actuellement avec le Centre de toxicomanie et de santé mentale de l’Ontario (CAMH), où il utilise de grands modèles de langage pour développer un robot conversationnel en mesure d’aider les gens à prendre la décision d’arrêter de fumer. 

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